Plaintes et réincarnation L'habitude de la plainte ou de la critique constitue l'une des conditions les plus blâmables ou les gens se laisse souvent aller. Devant les manifestations de la vie, l'homme n'a que des motifs de louange et de remerciement jamais de plainte. Si la santé lui fait défaut, moyennant la connaissance de la réincarnation, il sait être entrain de régler les fautes commise par lui mêmes dans une existence antérieure envers son propre équilibre organique. S'il éprouve des difficultés financières ou s'il se trouve dans le besoin socio économique, il découvre par la même raison, que la gène actuelle, découle du gaspillage dans une vie précédente. S'il ne ramasse que des souffrances le long de sa vie, il constate que les semailles sont toujours responsable de la moisson. S'il subit l'amertume et l'abandon, il constate qu'il recueille à présent ce qu'il à refusé jadis à d'autre coeurs. S'il éprouve du chagrin intérieur, sans trouver aucun réconfort à sa douleur, il comprendra qu'il est entrain de réparer des actions commises au cours d'existences précédentes ou il a lésé des vies et les a épuisées de différents manières. A chaque événement désagréable, il trouve sa contrepartie, responsable de la situation présente. Cependant, même dans les circonstances les plus pénibles, les dons et les grâce dont il jouit et dont il néglige d'en reconnaitre la juste valeur sont innombrables. La réincarnation porte la réponse à tous les événements de la vie humaine. En grandissant à travers des étapes, l'esprit devient le responsable de toute les manifestations de bonheur ou de malheur qui le surprennent dans la déploiement de son évolution. Créé pour aboutir à la gloire et à la liberté totale, il emmagasine des expériences capables de l'éclairer soit par la souffrance, soit par les réalisations dans le domaine du bien. Son choix engendre les suites jamais différentes des actions entreprises. Se plaindre constitue, par conséquent, une attitude anesthésiante, négative, un mécanisme de fuite de la responsabilité. La plainte corrompt l'homme et le pousse au pessimisme, en engendrant des situations déprimantes ou désagréables. Au lieu de la récrimination encensé, l'homme doit corriger l'erreur quand il le peut ou, s'il ne peut pas, il doit poursuivre en faisant de son mieux, grâce à quoi il changera les causes et les circonstances défavorables. Le résultat essentiel de la connaissance est la libération de l'ignorance, avec la responsabilité morale qui s'ensuit. Celui qui a la connaissance, marche mieux en avant, à une allure plus assurée. A son tour, la connaissance spirite est capable de changer la structure morale et matérielle des gens et ainsi favoriser la réussite des tests de l'évolution auquel tous sont soumis selon les besoins de croissance intérieure et de conquête de la paix. Il ne faut jamais se plaindre car il s'agit toujours d'une attitude injustifiable. Vigilance, Divaldo Franco Pereira par l'esprit Joanna de Angelis.