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doctrinespiritenimes.over-blog.com

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Allan Kardec définit le Spiritisme comme une doctrine fondée sur l'existence, les manifestations et l'enseignement des esprits, possédant des lois morales et reposant sur une échelle spirite. Ce courant de pensée estime que les médiums peuvent communiquer avec les défunts, par l'utilisation d'une énergie spirituelle appelée périsprit. Fondé sur la croyance en Dieu, en la réincarnation et en la communication avec l'au-delà, le Spiritisme regroupe plusieurs millions d'adeptes à travers le monde. CHARTE - INFORMATIONS UTILES ET TRÈS IMPORTANT, Bien chers lecteurs, je conseille à toutes et à tous de bien lire la description du Spiritisme. Je vous rappelle que le Spiritisme n'a rien à voir avec la pratique médiumnique généralement répandue et utilisée à des fins matérielles, lucratives ou similaires. En conclusion, je vous déconseille d'adhérer à toute publicité à titre commercial (cabinets de voyance, etc.) La médiumnité est un don gratuit et non pas un marche-pied, donner gratuitement ce que Dieu a donné gratuitement. Bien à vous. Conseils d’un cercle Spirite : « Nous estimons qu’il est dangereux de s’aventurer à vouloir communiquer avec l’au-delà sans connaissances préalables. Lorsque l’on a une idée juste et suffisante des réalités spirites et médiumniques, on sait alors ce à quoi l’on s’expose en toute connaissance de cause. De plus, outre une formation théorique indispensable, une personne qui souhaite communiquer avec l’autre monde doit le faire dans le cadre d’un groupe structuré, expérimenté et averti qui saura faire face aux éventuelles difficultés, qu’il s’agisse des manifestations subconscientes ou d’interventions indésirables de mauvais esprits. En d’autres termes, nous déconseillons de pratiquer en dehors du cadre spirite. Régulièrement, nous recevons courriers et e-mails, provenant de personnes qui sont désemparées, face à des mauvais esprits (supposés ou réels) dont elles ne parviennent pas à se débarrasser. Nous ne pouvons décemment que les inviter à stopper toute expérience, afin que leurs désordres psychologiques, déjà évidents, ne s’aggravent pas davantage. Ainsi donc, Chers Correspondants, quelle que soit votre curiosité et votre soif d’expérience, ayez la sagesse de faire les choses dans l’ordre. Commencez par vous instruire, découvrez l’au-delà par la lecture des grands auteurs spirites, et ensuite, vous y verrez plus clair. » Allan Kardec entendit parler pour la première fois des tables tournantes en 1854 et fut tout d’abord très sceptique. Après avoir observé assidûment les manifestations des Esprits par la méthode expérimentale, il prit connaissance de cinquante cahiers de communications qu’il synthétisa et qui formèrent la base du livre des Esprits. Liens sources Centre Spirite : https://www.cslak.fr http://kardec.fr/index.php?lng=fr https://www.usff.fr https://www.cesakparis.fr


LES LUNETTES DE LA RAISON, HEUREUX LES PERSEVERANTS, PRUDENCE ET RAISON

Publié par Un spirite sur 18 Février 2022, 10:29am

Catégories : #Allan Kardec, #Centre Spirite, #Croyance, #Doctrine Spirite, #Médiumnité, #Philosophie Spirite, #Réincarnation, #Science, #Spiritisme

LES LUNETTES DE LA RAISON

AOUT 1874

On a dit : « à demain les études sérieuses ! » Causons donc !

Me voici au milieu de vous, tout heureux, tout joyeux ! Qui êtes-vous, allez-vous dire, vous, esprit ami, qui venez nous apporter la joie ?

Oui, très chers amis, j’apporte à chacun de vous de quoi le rendre heureux pendant toute sa vie, j’apporte à chacun une paire de lunettes !... — Les lunettes de la raison ! Je vous entends d’ici ! — Eh bien non, non, mes amis, car je suis certain que vous les possédez depuis fort longtemps ?... Non, pas celles-là, mais les lunettes roses qui font aimer la vie et les vivants ?

Je vous entends souvent vous plaindre, je vous entends même crier famine, vous qui êtes en plein travail, en pleine moisson, vous qui pouvez si facilement avoir la paix et l’abondance. — Que 

faut-il faire... dites-vous ? — II faut, chers moissonneurs, vous répéter souvent, que si le dos vous fait mal, que si vous prenez quelquefois les épines avec les épis, vos greniers se remplissent, ces immenses greniers éternels où tous les mérites trouvent de la place ! II faut vous dire que si la vie a des aspérités quelquefois très dures, elle vous fait faire de grands pas sur cette route de la patrie ou vous sont gardés tous les bonheurs !

Oui, croyez-moi, mettez mes lunettes roses et vous verrez tout s’éclairer et s’embellir autour de vous ! Mettez-les, et avec les yeux du coeur vous admirerez cette vie qui vous fait riches pour l’éternité et ces vivants qui par leur contact vous polissent et vous rendent bons ! Oui, mettez-les, et au lieu de travailler en pleurant, vous travaillerez en chantant, car avec elles vous verrez au-delà de la vie terrestre le doux avenir de repos et de liberté qui vous attend.

Et maintenant qui va dire mon nom, le nom du joyeux compagnon qui voudrait vous voir tous heureux, en paix et marchant vite ?...

Un petit effort, médium, et dites à ceux qui sont là que celui qui les salue ce soir c’est l’ami.

Jobard.

HEUREUX LES PERSEVERANTS

AOUT 1874

Heureux ceux qui auront marché jusqu’à la fin, heureux ceux qui auront persévéré, ils trouveront le secret que la science ne découvre que petit à petit à ceux qui travaillent sans cesse !

Chers disciples, combien de fois encore êtes vous assaillis par le doute, combien de combats intérieurs ne vous faut-il pas soutenir avec le préjugé, avec l’erreur terrestre ? Combien de fois encore vous demandez-vous avec angoisse si vous êtes dans le vrai ?... Cependant, vous êtes spirites, convaincus, dévoués, sincères !

Ceci vous prouve que rien sur terre n’est absolument et définitivement résolu, cela vous prouve qu’il faut continuer le travail commencé par d’autres, épurer encore, apprendre mieux votre doctrine afin de la voir un jour sereine et triomphante.

Ne vous le dissimulez pas, amis, le travail n’est qu’ébauche, et c’est à vous d’abord, c’est à ceux qui vous suivront, de le continuer et de le perfectionner. Pour que les traces du travail résistent, il faut qu’elles aient été arrosées de sueurs ; spirites, souvenez-vous de cela.

Comme les navigateurs dans les mers polaires, vous vous sentirez plus d’une fois encore environnés de ce froid, de ces glaces qu’on appelle l’incertitude et le doute, vous vous croirez trompés, vous vous demanderez la vérité ; mais alors, mes amis, vous prierez, et le petit rayon viendra dissoudre la glace et faire disparaître l’obstacle ; vous travaillerez, et victorieux vous sortirez de la lutte ; vous aimerez, et votre cher navire rentrera dans les eaux calmes et attiédies par le soleil !

Courage donc, spirites, si pour quelques-uns d’entre vous, il semble de temps à autre que le jour soit brumeux, qu’ils se tranquillisent, la lumière, la foi, l’espoir ne tarderont pas à se montrer de nouveau pour réconforter et réjouir le travailleur persévérant !

En vérité, je vous le dis, repliez-vous souvent sur vous-mêmes, écoutez la voix intérieure, élevez votre âme, priez, pratiquez les vertus enseignées par vos croyances et le reste vous sera donné par surcroît !

Bien comprendre la vie à venir est une récompense, elle sera le partage des persévérants et des forts !

Allan Kardec.

PRUDENCE ET RAISON

AOUT 874

Par la pensée, nous transportons notre médium dans une maison d’aliénés afin de lui faire examiner les causes qui ont amené ces malheureux dans l’état où ils se trouvent.

Nous voyons des cas de folie produits par une cause accidentelle, la peur. Nous voyons des fous amenés là par une colère trop vive, par une jalousie trop grande, d’autres ont été anéantis par une douleur trop lourde, par un désespoir qui a brisé leur organisation cérébrale. Mais le plus grand nombre de ces folies prend sa cause dans un orgueil si grand qu’il n’a pu être contenu et a fait éclater l’instrument.

Il y a des hommes insatiables et qui veulent pousser les études au-delà des limites posées par la raison pour l’humanité.

Une des plaies de cette terre, c’est cet orgueil qui veut remonter jusqu’à Dieu et prétend en chercher l’origine. Dieu qui, après les avoir créés, a tracé pour les mondes une route de laquelle ils ne s’écartent jamais ! Dieu qui connaît tout et maintient de sa main puissante les univers innombrables ! Dieu qui, toujours, subsiste et jamais ne change !

Dieu en douant les organes du cerveau humain d’une extrême délicatesse a voulu faire comprendre à l’homme qu’en les poussant hors des limites imposées par la raison ils seraient facilement faussés. L’homme est sur terre pour apprendre, c’est vrai, mais pour apprendre d’abord à s’étudier lui-même, pour chercher son origine et le but de ses existences afin de parvenir à vaincre ses passions et à se reformer.

L’homme est là pour travailler avec ses frères au perfectionnement général. Il est là pour marcher au bien et aider les autres à y marcher.

Dès l’instant qu’il veut, enfant imprudent, forcer ses organes et chercher à remonter aux grandes causes que Dieu lui tient encore cachées, il est immédiatement arrêté par la suspension de ses facultés.

Spirites, travail, mais prudence et raison ! Persévérance dans l’oeuvre du salut général, mais modestie et simplicité.

Eraste.

 

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