1) Les suicidés éprouvent-ils tous les mêmes expériences ?
Oui, malgré quelques différences relatives au style de mort qu'ils se sont donné et à leur stade d'évolution.
Plus un homme est évolué sur un plan culturel, plus il a de discernement, et plus son corps spirituel devient subtil. Par conséquent, plus pesant sera son rééquilibrage face au mal pratiqué envers son prochain et envers lui-même, à cause de ses excès, ses vices, ses déséquilibres et du suicide par lui-même.
2) Après avoir fait le terrible constat qu'il n'a pas atteint son objectif, c'est à dire, qu'il n'est pas << mort >> et qu'il a constaté les perturbations causées à son périsprit, y a-t-il quelque chose de plus qui afflige le suicidé, tout de suite après son acte funeste ?
Les suicidés sont confrontés à de grandes difficultés pour se détacher de leur corps physique.
Ils subissent, selon ce qu'ils nous racontent, des tourments indescriptibles que le plus morbide des auteurs d'histoires d'épouvante ne serait pas capable de concevoir : la plus ignoble sensation étant d'être dévoré par des vers.
3) Peuvent-ils être dévorés par des vers ?
Bien sûr que non ! Cependant, comme l'Esprit reste attaché à son cadavre par des liens fluidiques qui forment le '' cordon argenté '' dont nous parlent nos guides spirituels, l'attaque des vers va se répercuter sur l'esprit, lui donnant l'impression que quelqu'un est en train de le dévorer vivant.
4) Par compassion, les guides spirituels, ont-ils le pouvoir de détacher rapidement l'Esprit de son corps ?
S'ils ne le font pas, c'est avant tout par miséricorde .
Un détachement trop rapide empêcherait l'esprit de surmonter les épreuves dues à ces expériences physiques et à ce type de mort. En effet, cela rendrait pire sa condition dans le monde Spirituel. Le laisser rattaché à son physique est un moindre mal.
5) Ce problème n'atteint-il que les suicidés ?
Il atteint tous ceux qui ont été esclaves de passions, de vices et d'intérêts liés à la vie physique, sans aucun caractère élevé. Il atteint aussi tous ceux qui n'ont jamais cultivé aucune spiritualité, ni aucun détachement des choses matérielles, ni réalisé un seul effort de fraternité.
Plus l'esprit est compromis dans des intérêts matériels, plus difficile sera son retour vers la Patrie Spirituelle.
6) Cette situation peut-elle se prolonger indéfiniment ?
Normalement, avec la décomposition du corps, ces attaches avec le périsprit se libèrent petit à petit. En quelques jours, l'Esprit est libre. Et il reste rarement au cimetière, lié à son cadavre lorsqu'il s'en est détaché.
7) L'Esprit à-t-il conscience de cette situation ?
Il a conscience de sa souffrance mais ne comprend pas bien ce qui lui arrive. Il s'imagine dans un lit d'hôpital abandonné par sa famille et par ses amis.
La solitude est l'un de ses plus grands tourments.
8) Cette période passée à côté de sa dépouille laisse-t-elle des séquelles ?
Il reste la terrible sensation d'être enterré vivant qui pourra même se répercuter dans les futures existences.
Beaucoup de gens ont peur de se réveiller dans leur tombe. Ils pensent souvent à la crémation pour éviter cette possibilité probablement parce qu'ils ont vécu une expérience de cette nature dans l'une de leurs précédentes vies. De là vient la peur .
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