Peu de mots sont l'objet d'une telle charge émotionnelle, à la simple audition du mot "Spiritisme", certains font référence à la sorcellerie ou au satanisme, d'autres l'associent à la tablette "oui-ja" ou au jeu du verre.Certains éprouvent de la curiosité, d'autres se renferment dans l'indifférence, y voient des histoires farfelues de voyance, cartes, marc de café etc. ou alors une source potentielle de revenus, d'autres une solution possible pour résoudre leurs problèmes existentiels ou physiques, devant lesquels la science actuelle est impuissante.Combien l'associent à une philosophie spiritualiste? (qui démontre et enseigne que la matière n'est pas le seul élément de la vie), en Europe très peu, au brésil, il compte près de 30 millions de sympathisants et autant d'ouvrages d'Allan KARDEC vendus (le codificateur du spiritisme et non son gourou).Contrairement à une idée très répandue, le spiritisme n'a pas pour but de communiquer a tout va avec l'au-delà. Ceux qui le prétendent n'ont pas compris ou ne veulent pas comprendre le véritable but de cette philosophie.
L'étude et la pratique du spiritisme est un approfondissement de l'enseignement de jésus et des êtres de lumière, qui ne désirent qu'une seule chose : nous montrer la voie a suivre pour notre évolution spirituelle.Le spiritisme n'est pas une nouvelle de la vie matérielle (qui n'est pas à dédaigner bien sur) si l'on souhaite sincèrement s'y intéresser (il s'enseigne, mais ne s'impose en aucune manière), il est indispensable de faire un travail sur soi pour progresser sans cesse dans la compréhension de la vie et de notre destinée.Nous sommes tous d'origine divine, prenons conscience que nous avons tous notre libre arbitre qui nous permet , entre autre, d'anéantir en nous cette notion du néant futur que l'on veut nous faire croire, et que le bonheur n'est que dans l'univers matériel et dans la possession d'objets sophistiqués.Le Spiritisme ne promet ni la fortune ni le pouvoir, mais, par des efforts constants, la certitude de voir la vie sous un jour nouveau, et de comprendre que toutes nos épreuves ne sont pas inutiles et qu'elles font partie de notre évolution.